Livres - Droits et licences
Nous irons là
Auteur : Virone Carmelo
Editeur : M.E.O.
Catégorie : Littérature
Sous-catégorie : Nouvelles
Prix public, sur le marché belge : 16€
Date de parution : Mai 2025
Nombre de pages : 136
Format : 14,8x21 cm
ISBN : 9782807005075
Détails de l'éditeur M.E.O.
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Description :
"14 nouvelles qui nous emmènent loin sans quitter la proximité du réel. Loin, c'est-à-dire ailleurs : dans les marges, les plis, les interstices de la ville, là où vivent ceux qu'on ne voit pas toujours, ceux qui avancent en équilibre sur le fil tendu du quotidien. Dans ce livre à la fois pudique et incisif, l'auteur bruxellois propose une cartographie sensible des zones périphériques ? qu'elles soient géographiques, sociales ou affectives. On y traverse des lieux simples, presque banals : un salon de coiffure, un tram en fin de ligne, une ZAD à Arlon, un snack marocain qui sent les frites et le cumin. Des lieux sans éclat, souvent relégués au second plan, mais que Virone éclaire d'une écriture fine, pleine de tendresse et de clairvoyance. Ici, l'ordinaire est un décor mouvant, un théâtre de résistances minuscules, où le dérisoire devient subversif. Les personnages ne sont ni héros ni victimes. Ce sont des femmes et des homme qui bricolent des bouts de sens dans un monde qui les déborde. Ils tentent, échouent, recommencent. Ils aiment, s'effraient, s'indignent. Ils persistent à "habiter le monde", malgré les injonctions, malgré l'inertie, avec une énergie obstinée qui force le respect. Leur précarité n'est jamais caricaturée ; elle est dite avec justesse, sans pathos ni misérabilisme." (Brussels Niews)
"14 nouvelles qui nous emmènent loin sans quitter la proximité du réel. Loin, c'est-à-dire ailleurs : dans les marges, les plis, les interstices de la ville, là où vivent ceux qu'on ne voit pas toujours, ceux qui avancent en équilibre sur le fil tendu du quotidien. Dans ce livre à la fois pudique et incisif, l'auteur bruxellois propose une cartographie sensible des zones périphériques ? qu'elles soient géographiques, sociales ou affectives. On y traverse des lieux simples, presque banals : un salon de coiffure, un tram en fin de ligne, une ZAD à Arlon, un snack marocain qui sent les frites et le cumin. Des lieux sans éclat, souvent relégués au second plan, mais que Virone éclaire d'une écriture fine, pleine de tendresse et de clairvoyance. Ici, l'ordinaire est un décor mouvant, un théâtre de résistances minuscules, où le dérisoire devient subversif. Les personnages ne sont ni héros ni victimes. Ce sont des femmes et des homme qui bricolent des bouts de sens dans un monde qui les déborde. Ils tentent, échouent, recommencent. Ils aiment, s'effraient, s'indignent. Ils persistent à "habiter le monde", malgré les injonctions, malgré l'inertie, avec une énergie obstinée qui force le respect. Leur précarité n'est jamais caricaturée ; elle est dite avec justesse, sans pathos ni misérabilisme." (Brussels Niews)
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