Livres - Droits et licences
La Cage
Auteur : Martin Vaughn-James
Editeur : Les Impressions Nouvelles
Catégorie : Bande dessinée
Sous-catégorie : Roman graphique
Prix public, sur le marché belge : 25€
Date de parution : Fevrier 2024
Nombre de pages : 240
Format : 17x24 cm
ISBN : 9782390701132
Détails de l'éditeur Les Impressions Nouvelles
Nom du contact : Johanne Duplouy
Ville : Bruxelles
Spécialités : Bande dessinée Littérature Sciences humaines et sociales
Site Web
Ville : Bruxelles
Spécialités : Bande dessinée Littérature Sciences humaines et sociales
Site Web
Droits disponibles
Toutes les langues disponibles.
Description :
Publié pour la première fois en 1975, bien avant que l'on ne commence à parler de « roman graphique », La Cage est aujourd'hui considéré comme un classique, cité dans la plupart des ouvrages sur la bande dessinée. En 180 pages que ne traverse aucun personnage, Martin Vaughn-James bâtit un univers obsessionnel d'une rare puissance à partir de l'incessante transformation de quelques lieux et quelques objets : chambres peu à peu envahies par le sable, murs qui se lézardent à vue d'oeil, larges taches d'huile, d'encre ou de sang, végétation proliférante qui recouvre des ruines, tableaux et cadres amoncelés dessinant le plus aberrant des musées. Mais derrière la folie baroque de ce monde décomposé, se dissimule un dispositif d'une implacable rigueur, derrière le vertige des motifs, la netteté d'un trait « ligne claire ».
Publié pour la première fois en 1975, bien avant que l'on ne commence à parler de « roman graphique », La Cage est aujourd'hui considéré comme un classique, cité dans la plupart des ouvrages sur la bande dessinée. En 180 pages que ne traverse aucun personnage, Martin Vaughn-James bâtit un univers obsessionnel d'une rare puissance à partir de l'incessante transformation de quelques lieux et quelques objets : chambres peu à peu envahies par le sable, murs qui se lézardent à vue d'oeil, larges taches d'huile, d'encre ou de sang, végétation proliférante qui recouvre des ruines, tableaux et cadres amoncelés dessinant le plus aberrant des musées. Mais derrière la folie baroque de ce monde décomposé, se dissimule un dispositif d'une implacable rigueur, derrière le vertige des motifs, la netteté d'un trait « ligne claire ».
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